VERNISSAGE LE JEU 12 OCT - 18H30
Première immersion dans la thématique de cette nouvelle saison :
Et si… et si l’on s’autorisait à prendre le temps de rêver et se laisser aller à l’expérience sensible, à découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux outils qui nous permettraient de vivre autre chose que notre quotidien.
Approche..., plus près, je te le dis à toi uniquement, mais cette année, cela va être possible, cette année, la thématique de Saint-Ex est « rêves et enchantements ».
Texte de présentation de la thématique lu lors de l'inauguration.
Dans le cadre de l'avantgoût, Saint-Ex présente également "In Urbe" de Ugo Arsac à l'espace numérique de la médiathèque Jean Falala.
Immersion virtuelle dans un dédale souterrain.
Oeuvre de la collection d'art numérique de l'espace multimédia Gantner à Bourogne sur le Territoire de Belfort.
Informations pratiques ci-dessous.
VERNISSAGE LE JEU 12 OCT - 18H30
Première immersion dans la thématique de cette nouvelle saison :
Et si… et si l’on s’autorisait à prendre le temps de rêver et se laisser aller à l’expérience sensible, à découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux outils qui nous permettraient de vivre autre chose que notre quotidien.
Approche..., plus près, je te le dis à toi uniquement, mais cette année, cela va être possible, cette année, la thématique de Saint-Ex est « rêves et enchantements ».
Texte de présentation de la thématique lu lors de l'inauguration.
Dans le cadre de l'avantgoût, Saint-Ex présente également "In Urbe" de Ugo Arsac à l'espace numérique de la médiathèque Jean Falala.
Immersion virtuelle dans un dédale souterrain.
Oeuvre de la collection d'art numérique de l'espace multimédia Gantner à Bourogne sur le Territoire de Belfort.
Informations pratiques ci-dessous.
Des pans de tissus réfléchissants dessinent des verticales mouvantes dans l’espace. Des cloisons molles et brillantes. Motorisées, les parois tournent et se replient sur elles-mêmes au rythme lent du temps qui passe.
Les réflexions que la matière opère avec la lumière attirent notre corps qui suit nos yeux. Ces structures pénétrables, autrement normées, redéfinissent notre rapport à l’espace. Nous oublions presque le monde extérieur.
L’on pourrait alors imaginer une nouvelle conception de l’espace, du temps, et des comportements. Des gestes simultanés dans le décor d’un moment. Projeter de nouvelles situations, faites pour être vécues par leurs constructeurs : les viveurs.
“L’aventure doit s’opposer à la routine, la création libre de sa vie se distingue de la morale établie, le jeu permanent doit remplacer le travail et les loisirs. La passion et le désir doivent briser la routine et la monotonie”.
Lucas Ramond
Performance sonore de Alex Dérouet le soir du vernissage.
L’installation interactive Je(u) transforme notre perception d’un ‘soi’ en une figure fugitive, inconstante, éphémère. En effet, en se dirigeant vers l’installation, on découvre, projeté sur un écran, un mouvement de particules qui semblent suivre les mouvements de l’air autour de notre corps. L’image du visiteur apparaît furtivement à l’écran avant de se dissoudre en un tourbillon de particules. Dans un perpétuel mouvement de temps et d’espace, celles-ci se posent peu à peu au sol et vont rejoindre celles des autres visiteurs passés avant nous. Les données de chacun restent en suspension dans l’espace virtuel, et continuent à interagir, formant un paysage en constante recomposition. Dans cette installation qui interroge les limites de la perception et du « soi », tout ce que l’on voit est un mirage, une image, renvoyant à l’interprétation du cerveau.
Le mouvement des visiteurs génère une danse de particules dans le monde virtuel. «Je» devient alors un « jeu ». L’idée de soi devient une improvisation avec les choses qui sont hors de nous dans une scène limitée. Ce «jeu» de «je» est à la fois notre réalité et une illusion. Nous sommes un spectacle illusoire qui évolue, disparaît, et se recrée en continue.