Comme un clin d’oeil espiègle au film de Jacques Tati, Playtime ! est une architecture éphémère qui se vit comme une chorégraphie. Aussi bien référence au temps de loisirs qu’au riche vocabulaire du numérique, Playtime ! incarne le fantasme du numérique : un outil flexible et réactif aux sollicitations humaines. Une question, une réponse.
Pour montrer les innombrables possibilités de ce nouveau monde qui s’ouvraient à eux, on raconte que les inventeurs du premier ordinateur ont utilisé l’univers du jeu pour le rendre au monde plus didactique !
Au même titre qu’un terrain de football ou qu’un parc pour enfants, le numérique est un terrain de jeu.
Un espace défini par des lignes tracées sur un gazon enherbé, un rectangle de mousse rose au milieu d’une cour de récréation ou le rectangle noir et plat d’un écran partagent tous la promesse d’un monde infini où l’on invente ses règles du jeu. Playtime! se construit sur ce principe : un espace défini qui promet une infinité de scénarios. Entre sol, meubles et plafond l’installation éphémère propose plusieurs niveaux de lecture.
Le sol s’habite de formes et de délimitations tracées par de simples scotchs blancs. Comme un socle commun, un terrain d’entente, le sol est la base qui définit physiquement cet espace de liberté.
Les meubles s’incarnent en architecture du numérique. Ils sont les supports de l’interface hommes-machines: ateliers découpe laser, enregistrement d’un podcast ou encore vidéo-projection en 3D. L’espace répond à la commande de l’utilisateur. Les objets-architectures perchées sur des roulettes pivotantes proposent un paysage changeant à chaque itération.
En cercle, en ligne, en carré ou poussées sur le côté, les ‘folies’ sont adaptables et pédagogiques.
À vous d’inventer les règles du jeu !
Partenariat pour la création du baréphémère : Wolfcraft marque d'outillage . et Investwood, le fournisseur du bois rouge Valchromat.
Comme un clin d’oeil espiègle au film de Jacques Tati, Playtime ! est une architecture éphémère qui se vit comme une chorégraphie. Aussi bien référence au temps de loisirs qu’au riche vocabulaire du numérique, Playtime ! incarne le fantasme du numérique : un outil flexible et réactif aux sollicitations humaines. Une question, une réponse.
Pour montrer les innombrables possibilités de ce nouveau monde qui s’ouvraient à eux, on raconte que les inventeurs du premier ordinateur ont utilisé l’univers du jeu pour le rendre au monde plus didactique !
Au même titre qu’un terrain de football ou qu’un parc pour enfants, le numérique est un terrain de jeu.
Un espace défini par des lignes tracées sur un gazon enherbé, un rectangle de mousse rose au milieu d’une cour de récréation ou le rectangle noir et plat d’un écran partagent tous la promesse d’un monde infini où l’on invente ses règles du jeu. Playtime! se construit sur ce principe : un espace défini qui promet une infinité de scénarios. Entre sol, meubles et plafond l’installation éphémère propose plusieurs niveaux de lecture.
Le sol s’habite de formes et de délimitations tracées par de simples scotchs blancs. Comme un socle commun, un terrain d’entente, le sol est la base qui définit physiquement cet espace de liberté.
Les meubles s’incarnent en architecture du numérique. Ils sont les supports de l’interface hommes-machines: ateliers découpe laser, enregistrement d’un podcast ou encore vidéo-projection en 3D. L’espace répond à la commande de l’utilisateur. Les objets-architectures perchées sur des roulettes pivotantes proposent un paysage changeant à chaque itération.
En cercle, en ligne, en carré ou poussées sur le côté, les ‘folies’ sont adaptables et pédagogiques.
À vous d’inventer les règles du jeu !
Partenariat pour la création du baréphémère : Wolfcraft marque d'outillage . et Investwood, le fournisseur du bois rouge Valchromat.
l'appel à projet pour le prochain bar est lancé.
Retrouvez-le ici et envoyez-nous votre book avant le 10 décembre 2023
Eugénie Palau et Allan Mensah sont architectes diplomés de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon.
Leur duo forme le studio de création Alimentation Générale.
L’alimentation générale évoque pour nous, ce qui est accessible. Présentes à tous les coins de rue, ces supérettes modestes renferment un imaginaire riche : elles sont le lieu qui vous a sauvé d’un manque un soir où tout était déjà fermé, le rayon où vous pouvez découvrir cette épice particulière introuvable dans la grande distribution, elles sont un mélange de cultures et d’histoires personnelles uniques. Ainsi comme un clin d’oeil à ces récits citadins et aux mélanges de nos cultures, nous sommes devenus nous même une ‘Alimentation générale’ : un terrain d’entente et de productions hétérogènes faisant dialoguer la photographie, le graphisme, l’architecture aux pratiques artistiques et de recherches.