Tamisé, coloré et chaleureux, le bar Permis de Construire vous plonge dans un espace singulier. Un espace composé de matériaux et d’objets pour la plupart détournés de leur destination d’origine. Parmi ces matériaux : du bois
de charpente, des plots de terrasse, des briques creuses, des baladeuses de chantier, des tôles ondulées, du câblage
électrique, et d’autres matériaux chinés et récupérés. Ces ressources réemployées sont issues de l’univers matériel de la construction et du bâtiment. Ce projet créatif et prospectif s’inscrit dans la même démarche que celle des makers.
Le bar Permis de Construire peut être vu comme un terrain d’expérimentation mettant en scène des techniques, des matériaux et des objets dans un sens détourné, amplifié ou revisité.
Tamisé, coloré et chaleureux, le bar Permis de Construire vous plonge dans un espace singulier. Un espace composé de matériaux et d’objets pour la plupart détournés de leur destination d’origine. Parmi ces matériaux : du bois
de charpente, des plots de terrasse, des briques creuses, des baladeuses de chantier, des tôles ondulées, du câblage
électrique, et d’autres matériaux chinés et récupérés. Ces ressources réemployées sont issues de l’univers matériel de la construction et du bâtiment. Ce projet créatif et prospectif s’inscrit dans la même démarche que celle des makers.
Le bar Permis de Construire peut être vu comme un terrain d’expérimentation mettant en scène des techniques, des matériaux et des objets dans un sens détourné, amplifié ou revisité.
RDV le 09 SEPT à 18h30
APÉRO DE RENTRÉE / RENCONTRE AVEC FÉLIX ROUDAUT.
L'Appel à création du prochain bar sera lancé en Octobre 2025.
Issu d'une formation artistique appliquée au design, Félix mène des projets qui gravitent autour des questions de la soutenabilité de la production des objets et des espaces qui
nous entourent.
Félix axe son travail autour de la ressource (naturelle, réversible, réemploi, économie circulaire), de la
question de l’accessibilité des savoir-faire (bricolage, systèmes D, et ateliers participatifs), et de la finalité de ces créations (au service de l’humain et du commun).